Lovy se réveilla, à peine s'était-il relevé qu'une douleur cuisante au crâne se fit ressentir, le faisant tomber à genoux.
-Où Suis-je ?
Il décida donc d'observer les lieux ; plus il observait, plus l'anxiété montait en lui...des corps mutilés, lacérés, des armes ensanglantées, l'horreur était tel qu'il avait à peine remarquer l'aiguille qui le transperçait la main...
-Mot Curatif !
La plaie se referma.
-Que s'est-il passé ?
Il devait partir, partir le plus loin possible de cet affreux paysage, cette destruction.
Lovy était au bord de la plage de Sufokia.
Après plusieurs jours de marche, le petit éniripsa était à bout de force, la gorge asséchée, les membres engourdies.
La magnifique vision du coucher du soleil remplissant le ciel entier de cette belle couleur qu'est l'orange s'effaça petit à petit...
Son coeur battait si vite...peut-être savait-il qu'il ne lui reste plus beaucoup de temps à battre, que les muscles qu'il avait l'habitude d'irrigué ne vivaient déjà plus...
Dans un dernier soupir, Lovy décida de se laisser gagner par la mort, cette promesse d'un oubli total.
[...]
Il était allongé par terre, était-il mort ?
La surface sur laquelle il reposait était blanche, ni chaude ni froide.
Il mis un certain temps avant de comprendre qu'il pouvait bouger, et qu'il était nu.
Cela ne le dérangeait pas particulièrement, étant seul, mais il désira quand même retrouver sa tunique violette d'éniripsa.
A peine avait-il songé à ce voeu, qu'une tunique apparut à côté de lui, il l'enfila.
Les lieux qui l'entouraient était flous, comme voilés par de fines couches de nuages blancs, dansant avec élégance.
C'est ainsi qu'il vit une forme, une forme de femme, descendre lentement l'escalier majestueux de marbre qui menait vers lui.
Elle portait une fine robe blanche, brodée.
Quand elle arriva à son hauteur, elle lui tendit la main, sans comprendre pourquoi ni comment, sans avoir pris le temps d'y penser, il l'a pris.
Poison, la déesse des dieux, voici comment elle se présenta à lui.
- Mais ... que s'est-il passé ?
Cette question demeurera éternellement sans réponses [...]
- Ce qui est passé n'est pas présent, je vois en toi un esprit fort, courageux mais très doux. Je pense avoir besoin de toi jeune eniripsa ! Que penses-tu d'une alliance ?
-Où Suis-je ?
Il décida donc d'observer les lieux ; plus il observait, plus l'anxiété montait en lui...des corps mutilés, lacérés, des armes ensanglantées, l'horreur était tel qu'il avait à peine remarquer l'aiguille qui le transperçait la main...
-Mot Curatif !
La plaie se referma.
-Que s'est-il passé ?
Il devait partir, partir le plus loin possible de cet affreux paysage, cette destruction.
Lovy était au bord de la plage de Sufokia.
Après plusieurs jours de marche, le petit éniripsa était à bout de force, la gorge asséchée, les membres engourdies.
La magnifique vision du coucher du soleil remplissant le ciel entier de cette belle couleur qu'est l'orange s'effaça petit à petit...
Son coeur battait si vite...peut-être savait-il qu'il ne lui reste plus beaucoup de temps à battre, que les muscles qu'il avait l'habitude d'irrigué ne vivaient déjà plus...
Dans un dernier soupir, Lovy décida de se laisser gagner par la mort, cette promesse d'un oubli total.
[...]
Il était allongé par terre, était-il mort ?
La surface sur laquelle il reposait était blanche, ni chaude ni froide.
Il mis un certain temps avant de comprendre qu'il pouvait bouger, et qu'il était nu.
Cela ne le dérangeait pas particulièrement, étant seul, mais il désira quand même retrouver sa tunique violette d'éniripsa.
A peine avait-il songé à ce voeu, qu'une tunique apparut à côté de lui, il l'enfila.
Les lieux qui l'entouraient était flous, comme voilés par de fines couches de nuages blancs, dansant avec élégance.
C'est ainsi qu'il vit une forme, une forme de femme, descendre lentement l'escalier majestueux de marbre qui menait vers lui.
Elle portait une fine robe blanche, brodée.
Quand elle arriva à son hauteur, elle lui tendit la main, sans comprendre pourquoi ni comment, sans avoir pris le temps d'y penser, il l'a pris.
Poison, la déesse des dieux, voici comment elle se présenta à lui.
- Mais ... que s'est-il passé ?
Cette question demeurera éternellement sans réponses [...]
- Ce qui est passé n'est pas présent, je vois en toi un esprit fort, courageux mais très doux. Je pense avoir besoin de toi jeune eniripsa ! Que penses-tu d'une alliance ?